Zoomer avec le Coolpix P1100 : dans les coulisses de « A View from a Bridge »

Premières impressions

Comment Joe a-t-il découvert les appareils photo Coolpix de Nikon ? « C’est en filmant une conférence sur la Terre plate à Birmingham », raconte-t-il en riant. Il a remarqué que les participants mentionnaient à plusieurs reprises le Coolpix P900 comme outil pour leurs expériences visant à prouver que la terre était plate, en raison de ses capacités de zoom. « J’ai utilisé le P900 pendant des années avant de passer au P1000, puis au P1100 », explique-t-il. Comment s’en sort-il avec cet appareil depuis lors ? « Les possibilités offertes par cet appareil photo tout-en-un et prêt à l’emploi sont tout simplement incroyables. » L’appareil est léger et se range facilement dans son sac de voyage avec le reste de son matériel (à savoir un trépied Manfrotto, un système de microphone RØDE Wireless Pro, le téléphone utilisé dans ses vidéos et un téléphone supplémentaire).

Champ libre pour le zoom

Lors de la conception de sa série, Joe souhaitait éviter les transitions et les coupes inutilement rapides, une tendance de plus en plus répandue en ligne. « Je me suis demandé comment la variation pouvait être contextuelle. Comment la variation peut-elle aider à raconter l’histoire sans en détourner l’attention ? Le zoom, c’est un « découpage » qui n’est jamais figé : le cadre change et s’ouvre constamment », explique-t-il. « Un nouveau bâtiment, une nouvelle rue ou une nouvelle personne entre en scène et offre une variation, plaçant la personne à un moment de l’histoire. Cela nourrit l’idée plus large que toute l’action se filme ici et maintenant, et que tout ce que cette personne dit est pertinent à ce moment précis. »

Avec une plage de zoom équivalente à 24–3000 mm et une plage d’ouverture de f/2.8–8, le Coolpix P1100 passe du grand-angle au super-téléobjectif. Et si vous souhaitez vous rapprocher encore, la fonction Dynamic Fine Zoom augmente désormais la portée jusqu’à l’incroyable équivalent de 6000 mm. « Dans chaque vidéo, j’effectue un zoom avant par paliers, je filme en 4K, puis je superpose l’audio en post-production », explique Joe. « Si je suis très loin, j’utilise le zoom numérique. C’est assez étonnant de saisir les pensées d’une personne et de voir le contexte dans lequel elles s’inscrivent. »

Plus de créativité avec le mode auto

« Ma vision créative est plus forte quand je n’ai pas à me soucier de certains réglages de l’appareil photo », explique Joe. « Je suis en train d’apprendre à utiliser le mode manuel, mais pour ce que j’ai à faire et la manière dont je veux raconter mes histoires, le mode automatique est parfait. Après tout, le mode auto n’a pas été conçu par des chimpanzés ! Il a été élaboré par des ingénieurs compétents qui ont consacré beaucoup de temps et d’efforts pour s’assurer qu’un réglage soit optimal dans chaque situation. C’est parfait pour moi ! »

Idéal pour les films narratifs, les paysages et la photographie d’oiseaux

Grâce à ses prises de vue nettes à grande distance (facilitée par le processeur Expeed de Nikon), à sa flexibilité supérieure (l’appareil photo est désormais équipé d’un port de chargement USB-C) et à son mode consacré aux oiseaux, à la lune et aux feux d’artifice, cet appareil photo est parfait pour la photographie d’oiseaux, de paysages et l’astrophotographie, ainsi que pour les cinéastes qui recherchent une solution de niveau professionnel sans l’investissement financier important d’une configuration complète. « L’autre jour, c’était la pleine lune, et j’ai utilisé le Coolpix en extérieur », raconte Joe. « On peut voir les cratères ! C’est incroyable. Encore mieux qu’avec un télescope. »

Consultez notre guide rapide du dernier Nikon Coolpix P1100 ici.